16 juin ( Jounée très pluvieuse )
Enfin, ils sont là ! Nous sommes à Lyon et Marie-Josée et Daniel sont allés accueillir nos invités pour cette fabuleuse randonnée autour du Mt-Blanc, l’une des plus célèbres au monde. Ils sont un peu fatigués mais, ils pourront se reposer un peu à bord du bus nolisé expressément pour nous.
Deux heures trente plus loin, nous arrivons à Chamonix. Malheureusement la température n’est pas propice à l’observation des hauts sommets et ça sera partie remise. Nous nous installons à La Chaumière et nous profitons de l’après-midi libre pour faire un tour de ville. Ce soir, ça sera le souper d’accueil à l’auberge et les premières consignes concernant notre départ dans 2 jours.
17 juin ( Jounée très pluvieuse )
Aujourd’hui, chacun profite d’une journée libre pour se préparer au départ de demain et aussi prendre le temps de récupérer un peu du décallage horaire. Il pleut pas mal et certains vont tout de même marcher à la Mer de Glace. Ils en reviennent enchanté malgré la mauvaise température …
18 juin ( Jounée nuageuse avec peu de pluie )
Lorsque nous nous levons, il pleut encore mais, le ciel semble vouloir se dégager et laisser passer quelques rayons de soleil. Après le petit-déjeuner, Marie-Josée et Daniel transmettent les pouvoirs nécessaires aux nouveaux guides du jour (Virginie, Dieter et Pierre P.). En effet, à chacune des journées, de nouveaux guides auront pour tâche de nous conduire à bon port. Ils auront reçu au préalable les cartes et guide topo du Tour et devront prendre connaissance du tracé afin de bien conduire le groupe à bonne destination. Nous en profitons également pour expliquer un jeu qui a pour conséquence que chacun de nous aura à développer son côté « ange » et son côté « diable ».
En effet, chacun pige un nom et il doit veiller, être l’ange, de cette personne jusqu’à Courmayeur et au contraire, pour l’autre nom pigé, il doit en être le « diable » (jouer des tours, narguer, etc).
Le bus vient nous prendre à 8h00 afin de nous conduire à Les Houches (1008 m) d’où nous amorcerons notre Tour.
Ça y est, nous sommes prêts.
C’est le GRAND DÉPART DE CETTE MAGNIFIQUE RANDONNÉE.
Le tout débute par une première montée au Col deVoza (1653 m). Ce col n’est pas le plus haut que nous allons franchir mais, il a l’honneur d’être le premier et il ne comporte pas trop de plateau où l’on pourrait reprendre un peu notre respiration … Nous réussissons tout de même à franchir le col en deux heures, ce qui est très satisfaisant. On s’en félicite évidemment !
Puis, nous amorçons la descente abrupte vers Bionnassay (1314 m) où nous nous arrêtons pour le lunch. Nous attendons que la petite pluie cesse et nous repartons par le sentier vers Le Champel (1205 m), La Villette (1066 m), La Gruvaz et Tresse (1016 m). Nous continuons sur la dernière portion du sentier qui nous conduit à Contamines-Montjoie (1167 m) mais, plus précisément à La Chovettaz où se trouve l’auberge La Gélinotte où une charmante dame fort sympathique nous attend. Aussitôt arrivés, certains profitent d’une bonne douche et d’autres vont faire les provisions pour les prochains dîners. Quant à être dans le voisinage de certains commerces, on se laisse tenter par les glaces, la bière et le vin … Nous avons droit à un bon souper à la Tartiflette (c’est un peu le ‘pâté chinois’ savoyard où le « steak-blé-d’Inde-patate » est remplacé par le Roblochon-lardons-patate … Très bon!) et on se rend bien compte que les membres du groupe sont ici pour profiter du bon temps et rire de bon coeur …. Ça promet !
19 juin ( Jounée nuageuse avec de bonnes périodes de soleil )
Après un départ à 8h30, nous arrivons à Notre-Dame-de-la-Gorge (1210 m) à 9h30 et nous visitons la petite chapelle construite il y a bien longtemps. C’est ce que l’équipe de guides du jour (Odette, Denis et Jacques) nous explique par l’interprétation d’une petite pièce de théâtre racontant la légende de Notre-Dame-de-la-Gorge. Nous devons féliciter les comédiens pour leur performance sans faille, particulièrement Denis qui a magnifiquement joué la « princesse qui en avait peu » … Après cette performance, chacun connaît maintenant les véritables origines de cette chapelle ou du moins l’une des légendes …
Puis, c’est le début de la longue montée qui nous conduira à la Balme (1706 m) où nous nous arrêterons pour le dîner vers midi. Après cette collation, on repart dans le sentier maintenant enneigé qui nous conduit au Col du Bonhomme (2329 m), certains se permettent même de redescendre un peu pour aider ceux qui ont plus de difficulté. Et, après avoir traversé un couloir d’avalanche et contourné pendant près d’une heure les sommets, nous arrivons au refuge de la Croix du Bonhomme (2443 m) vers 16h00. Tristan, le gardien du refuge, nous accueille et nous nous installons dans les chambres.
Très bonne journée où chacun a du fournir un effort supplémentaire afin de se surpasser et atteindre le but ultime de la journée … Le gardien du refuge nous sert un bon souper qui fait l’affaire de tous.
20 juin ( Jounée ensoleillée )
Nous profitons de cette très belle journée ensoleillée pour réaliser la variante par le Col des Fours (2665 m). Il nous faut moins d’une heure pour y arriver et nous laissons les sacs à dos pour explorer aux alentours.
Quelle magnifique vue nous avons des petits sommets autour. WOW !
Nous distinguons clairement le chemin que nous avons parcouru hier et là, juste devant nous, dans toute sa magnificence, le MONT-BLANC. C’est le temps de plusieurs photos et on ne se tanne pas de ce paysage à couper le souffle …
Après plusieurs minutes de contemplation, il faut bien continuer et nous amorçons la descente parfois sur les pieds et parfois sur les fesses. Quelles belles glissades ! Nous arrivons à Ville-des-Glaciers (1789 m) où nous nous arrêtons pour la pause du dîner vers midi. Nous passons par les Chalets des Mottets (1789) vers 13h30 et nous amorçons notre montée vers le Col de la Seigne (2516 m) qui nous fera franchir la frontière entre la France et l’Italie. Nous arriverons au Col vers 16h00 puis au refuge Elisabetta (2035 m) vers 17h00. Encore un grosse journée au chacun a puisé au fond de lui-même les ressources pour y arriver … Ce soir, nous dormirons en dortoir car les chambres ne sont pas disponibles à cause des rénovations majeures entreprises au refuge. Encore une fois, un très bon souper nous est servi au refuge.
21 juin ( Journée ensoleillée)
Ce matin, nous dégustons (sic) le petit-déjeuner très continental que nous servent les gens du refuge. Pain, beurre, confiture et café ou chocolat chaud … Miummmm ! Avant d’entreprendre un grosse journée de marche, ça remplit un très petit coin de l’estomac. On ne sait pas d’où vient cette mentalité d’avoir un petit-déjeuner si frugal mais, ça n’a pas sa place lorsque nous devons marcher de longues heures … Bon, on va tout de même faire un bout et on verra bien plus loin !
La nouvelle équipe de guides (Lucie, Pierre D. et Michel C.) débute par une petite séance d’échauffement et d’étirement avant de nous faire entreprendre la descente dans la neige jusqu’au bas du refuge. Arrivés à la Retenue du Lac Combal (2020 m), nous séparons le groupe en 2 selon l’option facile et l’autre, moins facile par la montagne. Seulement 6 personnes (Odette, Isabelle, Michel C., Érie, Pierre M. et Dieter) optent pour la deuxième, Daniel les accompagnera, et Marie-Josée accompagnera l’autre groupe par la variante du Val Veni (par la route) jusqu’à Courmayeur.
Le groupe de 7 doit fournir un bon effort afin de remonter au Chalet de l’Alpe supérieure de l’Arp Vieille (2303 m) à travers les névés et les restants d’éboulis du printemps. Mais, ça monte encore jusqu’à 2500 m., puis on doit traverser des névés assez vertigineux où chacun doit redoubler de prudence. Puis, on aboutit au fameux Lac Chécroui (2165 m.) d’un vert émeraude. Wow !
Un peu plus loin, nous voici au Col de Chécroui (1956 m.) et pendant la descente, Daniel dépasse une petite bonne femme qui lui dit: « vous pouvez passer si vous voulez … ». En fait, c’était comme un défi qu’elle lançait car après, elle a été sur les traces, dans les bottines même, de Daniel pendant toute la descente vers le Col … Cette petite bonne femme qui courait par moment afin de ne pas se laisser distancer, cette petite bonne femme avait … 71 ans !
Et en plus, elle nous dit qu’elle avait un ligament croisé d’un genoux en mauvais état …
Une chance !
Maintenant, nous profitons d’une longue pause sous un soleil radieux. Que ça fait du bien !
Après de longs moments, nous débutons finalement notre descente vers Courmayeur. Lors de cette descente, nous apercevons au loin une piscine. Comme ça serait bon ! Arrivés à la hauteur de la piscine, on s’arrête et on regarde les gens se baigner. Puis, ils nous font signe de venir .. Ce sont des randonneurs belges qui ont penser la même chose que nous et qui nous invitent à en faire autant. Allez hop, à l’eau !
Brrrrrr ! L »eau est très froide mais, que ça fait du bien quand même.
Après notre petite saucette, nous continuons notre descente frais et dispos jusqu’à Courmayeur (1224 m.) et nous rejoignons les autres à l’hôtel Bon Souvenir qui sont arrivés seulement une heure avant nous … On s’installe à l’hôtel et on en profitera pour les 2 prochaines nuits car demain, c’est journée de repos. Youppi !
22 juin ( Jounée ensoleillée )
JOURNÉE DE REPOS !
Plusieurs profitent de cette journée pour aller faire un tour du côté de la ville d’Aosta. Ville où se trouve de nombreux vestiges romains et une superbe place centrale et des rues piétonnières où il y a des boutiques et de bons restos.
23 juin ( Journée ensoleillée )
Après un bon petit-déjeunere où il y a autre chose que du pain et du beurre, nous partons de Courmayeur à 10h00 en destination de Pont qui se trouve au pied du Gran Paradiso. Nous arrivons vers 11h00 et nous laissons quelques bagages inutiles à l’hôtel où nous serons logés demain. Et c’est le départ de Pont (2000 m.) par le sentier qui nous amène lentement mais, sûrement à grimper par de beaux lacets vers le refuge. Nous profitons d’un bel endroit découvert avec une vue sur les sommets environnants pour prendre la pause du midi. Malheureusement, les bouquetins et les chamois ne sont pas au rendez-vous comme il y a trois semaines avec le groupe d’étudiants. Puis, vers 14h00 nous arrivons au refuge Vittorio Emanuel (2700 m.). On s’installe dans le dortoir … Dortoir ? Il faudrait voir ça, nous sommes dans le grenier et il faut marcher presqu’à quattre pattes pour ne pas se frapper la tête … Bof ! Ce n ‘est pas grave, ce n’est que pour une nuit et encore, nous devons nous lever vers 3h00 afin de partir tôt sur la neige dure qui nous supportera jusqu’au sommet.
Nous profitons de ce bel après-midi pour se reposer et se laisser dorer par ce soleil radieux. Certains en profitent au contraire pour faire un peu d’exploration aux alentours. C’est le cas de Marie-Josée et Daniel qui montent vers le Gran Paradiso jusqu’à 3000 mètres afin d’être certain du chemin à prendre lorsque nous marcherons vers le sommet la nuit prochaine.
Après un bon souper au refuge, Lucie, Pierre D. et Michel C. désirent remettre les pouvoirs à ceux qui seront les guides pour l’ascension du Gran Paradiso, Marie-Josée et Daniel. Puis, c’est le temps de préparer nos bagages pour cette nuit et c’est déjà l’heure du dodo à 21h00 ….
24 juin ( Journée ensoleillée )
Le réveil se fait à 3h00. Ouf ! Pas déjà !
Petit déjeuner à 3h30 et nous sommes prêts à partir à 4h00. La file de lampes frontales s’ébranle et lentement nous débutons la montée vers le sommet. Nous aurons à franchir 3 montées assez abruptes en plus du dénivelé assez important. Le sommet est à 4061 mètres et nous partons du refuge à 2700 mètres … 1300 mètres de montée. Ouf !
Nous arrvivons au sommet vers 8h30 et Dieter qui accompagne Daniel qui a vraiment des problèmes en altitude, arriveront vers 9h00. Marie-Josée a ouvert la trace pendant toute la montée et ce de belle façon en effectuant de beaux lacets lorsque nécessaire et en effectuant les pauses de bonnes durées aux bons moments. Seulement une personne a dû rebrousser chemin de peur de n’avoir assez d’énergie pour effectuer la longue descente qui suivra. WOW ! Nous voici au sommet mais, il n’y a rien de drôle car il y a tellement de monde que c’est dangereux. Dieter et Daniel doivent même aider quelqu’un du groupe qui ne se sent pas trop à l’aise avec la descente. C’est l’occasion de sortir la corde et de s’encorder comme les vrais alpinistes … Tout se passe bien et le groupe se rejoint un peu plus bas.
Puis, c’est la longue descente vers le refuge. Daniel qui a fourni un effort supplémentaire afin d’atteindre le sommet se sent vraiment fatigué et accepte l’offre de Marie-Josée de prendre le sac à dos pour la descente. Les derniers arriveront au refuge vers 11h30. On en profite pour prendre un petit repos, une bonne bouffe et préparer les sacs pour la descente vers Pont et l’hôtel. Le départ se fait vers 13h00 et la descente s’effectue très rapidement et ce sans pause … On a hâte d’arriver !
Arrivés à l’hôtel, certains font la sieste, d’autres commencent à fêter la St-Jean. Les gens de l’hôtel nous servent un très bon souper, puis nous profitons d’une bonne nuit de sommeil afin d’être prêt pour la suite de notre aventure.
25 juin ( Journée ensoleillée )
Lever à 6h30 et petit-déjeuner à 7h15 parce que l’autobus vient nous chercher à 8h00. Nous profitons de ce petit-déjeuner pour offrir le jus d’orange-champagne et passer les pouvoirs aux nouveaux guides du jour soient: Isabelle, Éric et Alain qui devront nous amener d’Arnuva en Italie à La Fouly en Suisse. Deux d’entre nous décident de poursuivre d’une façon différente, ils veulent prendre le téléphérique de Courmayeur à Chamonix et venir nous rejoindre en auto à La Fouly …
Enfin, l’autobus arrive à 8h15 et il nous faudra une heure trente pour se rendre à Arnuva (1769 m.). Nous partons donc vers 10h30 après avoir expliqué le nouveau jeu qui consiste à faire dire le ou les mots inscrits sur un bout de papier à la personne pigée. Et c’est parti !
Nous ferons une premiere brève pause à la cascade, le temps d’une photo et de quelques tentatives de certains pour faire dire le mot à leur victime puis, on repart vers le refuge Elena que nous atteindrons vers 11h30. C’est le temps d’un bon café et d’une bonne collation … Après cet arrêt, on repart par le sentier en lacets jusqu’au poteau qui indique le chemin à suivre, nous sommes maintenant à 2300 mètres et il est 12h15. C’est le temps de la pause du dîner. Après, on repart et nous atteignons le Grand Col de Ferret (2537 m.) vers 13h30. Quelle belle montée !
Après les photos et les félicitations, c’est le moment de descendre vers La Peula (2072 m.) et nous décidons de prendre la variante Le Plampro, en montagne. Après un faux départ, on s’est trompé de sentier au départ, on reprend le bon sentier et on traverse quelques névés sans trop de difficultés et nous arrivons à La fouly (1610 m.) vers 17h00. Encore une très bonne journée !
On s’installe à l’hôtel Edelweiss en dortoir un peu mieux adapté qu’au refuge et on profite d’un autre très bon souper…
26 juin ( Journée ensoleillée, encore ! )
Voilà, c’est déjà l’avant dernière journée de notre fabuleux Tour. Après une nuit plus ou moins bonne selon que l’on est ronfleur ou non, on passe au petit-déjeuner très très ordinaire avec pain et confiture. Pourtant en Suisse, ils servent autre chose normalement …
Après la passation des pouvoirs aux guides du jour, Nicole nous conduit d’un pas sûr vers notre destination. Aujourd’hui, c’est une journée relativement facile dans un décors merveilleux et en prime à l’arrivée à Lac Champex (1466 m.), une bonne baignade dans le lac. WOW ! Mais, avant la petite baignade, il a bien fallu se rendre à Champex. Le sentier est facile jusqu’à Issert après, c’est une belle montée de 400 mètres qui nous défie. À la toute fin de cette montée, nous avons la chance d’apercevoir un ‘bunker’ qui est encore utilisable et c’est l’occasion pour plusieurs de se montrer un peu escaladeur sur les bords et de grimper jusqu’au sommet de cette structure …
Nous profitons de cette journée pour contempler les paysages qui nous sont offerts par les montagnes autour mais, aussi par les petits villages typiques comme Praz-de-Fort (1151 m.) et Issert (1050 m.) qui rassemblent un mélange architectural du passé et d’aujourd’hui avec le respect de l’histoire. Arrivés au Chalet en Plein Air d’Éric, on s’isnstale dans les dortoirs à 4 avec lits individuels et on a droit à un très bon repas. Après ce bon souper, certains vont faire une petite ballade autour du lac .
27 juin ( Journée ensoleillée avec quelques passages nuageux )
Lever vers 7h00 et un très bon petit-déjeuner nous attend. Nous partons vers 8h30 après la traditionnelle et dernière passation de pouvoirs aux derniers guides (Hélène, Paul et Michel B.).
Nous suivons les ballises qui nous conduisent au Plan de L’Au (1330 m.) où Éric en profite pour se faire une nouvelle amie… En effet, une jolie chèvre désire se faire adopter et elle choisie Éric comme père adoptif. Probablement qu’elle se doute bien qu’Éric sera papa bientôt et elle sent bien son amour tout paternel qui se développe …. Elle le suivra donc pendant de longs moments. Puis, nous arrivons à ce qui sera notre dernière véritable montée. Une montée de 600 mètres. Ouf ! Lentement mais, sûrement nous grignotons pas à pas cette montée qui nous amène aux Fermes de Bovine (1987 m.) où nous profitons d’une longue pause pour se restaurer et se reposer.
Après cette longue pause, nous reprenons la route une dernière fois et tout en descente en direction du Col de Forclaz (1526 m.) que nous atteindrons vers 14h30. Tout juste à temps car un orage se déclare peu de temps après … C’est le temps d’un bon verre bien mérité et les félicitations sont bien senties pour tous … L’autobus vient nous prendre vers 15h30 pour nous conduire à l’auberge La Chaumière de Chamonix. Dès notre arivée à la Chaumière, la pluie redouble d’ardeur et même la grêle s’en mêle … Ouf !
Voilà, le Tour du Mont-Blanc est terminé. Ce fut une randonnée extraordinaire en compagnie de gens super sympathiques et très intéressants …
28 juin ( Journée de pluie )
Journée libre à Chamonix mais, sous la pluie, il n’y a pas grand chose à faire sauf le magasinage, la piscine, internet et le cinéma …
29 juin ( Journée ensoleillée )
Quelle belle journée ! La majorité des membres du groupe profite de ce magnifique soleil pour monter à l’Aiguille du Midi en téléphérique et profiter du magnifique paysage qui s’offrira à leurs yeux. Tous en reviennent enchantés et à temps pour prendre le bus à 11h30 qui nous amènera à Annecy. Annecy, une très belle ville qui possède, dit-on, le lac avec l’eau la plus propre d’Europe.
Nous arrivons à Annecy vers 13h00 et le chauffeur nous fait un tour de ville avant de nous conduire à l’hôtel de Alpes.
L’après-midi est libre et certains profitent de la plage pour se baigner et d’autres visitent. Puis, c’est le dernier souper de groupe où l’occasion est donnée aux membres du groupe de remercier Marie-Josée et Daniel pour l’organisation de ce magnifique Tour ….
Merci à tous et au plaisir de se revoir lors d’une autre expédition
Daniel Cyrenne